Le bonheur n'est pas au bout du parcours, c'est le parcours en lui même. Chacun à notre façon nous cherchons la meilleure manière de nous déplacer sur ce long parcours.
Que l'on soit préparé ou non à suivre le parcours, c'est dans la façon de l'appréhender que nous nous réalisons.
Ressentir le pas que je suis est en train de faire me rend vivant, et c'est grâce à lui que je pourrai faire celui d'après. J'ai mis 40 ans à comprendre que c'était le pas que je suis en train de faire était plus important que celui d'après. J'espère qu'il n'est pas trop tard pour en profiter.
Pour que le parcours soit plus simple à gérer j'ai fais le ménage dans mes "amis Facebook" hier soir pour ne garder que ceux comptent réellement malgré les divergences, la distance, ou même l'absence dans les moments importants de ma vie. A voir si eux à leur tour me garderont.
Matin/Midi : Salade, restant de chipo/merguez, 1 yaourt, 1 abricot, 4 reine-claude, 1 verre de rosé
Parcours au parc des Batignolles avec quelques gouttes de pluie. Je reprends de la vitesse petit à petit à 9,8km/h en moyenne sur 20'. Les sensations au niveau des jambes sont bonnes, par contre le cœur est encore à la traine à 80-90% FCM.
J'enchaine avec une série de 6x100m + 6x150m pour arriver à 1560m en 6'10'' soit 15,2km/h de moyenne.
Je ne sais pas si c'est ni normal. Est ce que le cœur se renforce à ce point? La pause de 6 mois lui aurais permis de se reposer et la reprise lui donne la possibilité de se développer?
En tout cas cela me laisse entrevoir des possibilités nouvelles puisqu'avec 4% de rythme cardiaque supplémentaire cela me laisse entrevoir des vitesses de 13,5km/h si la progression est linéaire.
Soir: Plateau sashimis japonais, riz, yaourt, 1 brugnon, 1 verre de vin blanc.
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